Au niveau international, on s'accorde désormais à considérer les mutilations
génitales féminines comme une forme extrême de violation des droits des
femmes et des filles et comme une menace pour leur santé et leur intégrité.
En 2012, l'Assemblée générale des Nations Unies a adopté la toute première
résolution condamnant les mutilations génitales féminines (67/146),
et a appelé à intensifier l'action mondiale pour éliminer cette pratique.